
Le saviez-vous ?
- Il fallait reconnaître l’hippodrome des Vennes .
- C’est en 1887, que la société des courses hippiques signait un traité avec les autorités militaires, leur permettant d’occuper le terrain de manœuvres de Bourg-en-Bresse. Après négociation avec la ville, la société des courses obtint la jouissance du communal des Vennes et quelques parcelles avoisinantes, cela à condition de donner 5% des recettes au bureau de bienfaisance de la ville.
- On appelle Turfistes, les joueurs de paris hippiques, qui fréquentent les champs de courses.
- A l’époque, il y avait d’imposantes tribunes d’honneur et une participation de 10 000 à 20 000 spectateurs.
- En 1937, lors de son cinquantenaire, la plaquette de présentation des courses du 11 juillet et du 14 juillet rappelait la progression journalière du chiffre du pari mutuel. Il était de 35 000 francs en 1921, en 1936 il était arrivé à 300 000 francs.
On a entendu que :
Les « courses » étaient un peu comme une fête dominicale à la campagne : on soignait sa tenue et les élégantes aux longues robes et larges chapeaux avaient du succès.
La petite histoire :
Les automobiles de l’époque stationnaient facilement, il y en avait peu ! Par contre, les vélos étaient nombreux, mais ils étaient souvent volés. Les jours de meetings, on pouvait louer des garages dans les caves des maisons, moyennant un prix modique, pour la garde d’une journée.
Vous voulez compléter cette réponse ? Faire part d’une anecdote ? N’hésiter plus et laissez-nous un commentaire.